Fertiliser nos terrains agricoles avec des excréments humains? Éclairer une ville avec les gaz issus de nos déjections? Oui, c’est possible! On produit annuellement sur le globe 350 millions de tonnes d’une matière inépuisable dont la valeur est largement sous-estimée.

Socialement, la merde est perçue comme un déchet. Cette conception est heureusement en train de changer. Stéphane Bellavance rencontre l’ingénieure et chercheure Céline Vaneeckhaute et découvre la biométhanisation, processus qui permet de valoriser les matières fécales afin de remettre l’énergie et les nutriments qu’elles contiennent dans le cycle de l’économie circulaire. Il discute aussi de la surprenante toilette sèche à compost avec l’entrepreneure Lucie Mainguy.

Il est grand temps d’arrêter de traiter notre merde comme de la merde!

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Ô merde! …et après?

Photo d'une série de toilettes présentées dans l'exposition Ô merde!

Vous avez visité l’exposition Ô Merde! la quantité d’enjeux sociaux et environnementaux que génèrent nos excréments vous a soufflé? C’est normal. Il y a beaucoup à apprendre sur cette matière organique universelle! Découvrez ici tout ce que vous pouvez faire pour provoquer le changement positivement et durablement.

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S’impliquer pour provoquer le changement

 Photographie d'une équipe d'employés du Musée à l'usine de traitement des eaux usées de Québec.

Être préoccupé par la préservation de l’eau potable, c’est bien! S’impliquer pour un changement positif, c’est encore mieux! Tout commence par trouver où et comment s’impliquer.

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Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme… même le caca!

 Épandage de biosolides dans un champ agricole à Geneva en Illinois.

Via leurs réseaux d’égouts, les villes récupèrent quotidiennement une grande quantité de matières aux propriétés fertilisantes. Celles-ci prennent parfois la direction de l’incinérateur ou des sites d’enfouissement. Pourtant, le Québec aurait tout avantage à récupérer plus et à recycler mieux ses matières résiduelles dans une perspective d’économie circulaire et de lutte contre les changements climatiques.

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Et si on passait à la toilette sèche?

 Photo de la toilette sèche à terre d'Henri Moule

Faire voyager nos excréments dans l’eau potable, est-ce vraiment une bonne idée? Et si on envisageait la toilette sèche? De nombreux inventeurs, dont Henri Moule, ont réfléchi à cette question. D’ailleurs, les solutions contemporaines sont «nettement» plus intéressantes!

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